Luttant contre les mégalithe du temps, se jettent a corps perdu dans la gueule du loup, je continue pourtant à marcher, cependant je ne m’intéresse pas au monde qui m’entoure , je laisse cependant s’échapper quelque larmes précieuse de son sablier d’outre tombe…
Ce soir, de 5 janvier, une fois n’est pas coutume, nuit blanche avec des potes, on est aller faire la tournée des bars, histoire de se bourrer la gueule avant ma première semaine de boulot, certes ce n’étais pas très malin de ma part, mais ça fait plaisir de sortir le soir, de temps en temps oublier notre environnement, de temps en temps zapper l’autorité papa, maman…
Tsais le temps est assassin, car il ruse pour nous confronté au fait… on agit sans réfléchir comme ce soir où on étais tous bourrer, alors on est aller faire les fou se jeter un peu a l’eau, mais bien trop enivrer pour voir le chemin que l’on prenais, on s’est tous perdu de vue, on s’est tous un peu égaré, j’ai croisé un vieil homme a l’air louche, assit sur un, banc, son regard me transperçais, il m’a invité a boire un verre chez lui et de repartir le lendemain pour aller chez moi, il a failli me convaincre pourtant j’ai refusé, le lendemain matin après trois cachet d’aspirine pour faire passer mon mal de tête, j’ai croiser un vieil homme assit sur un banc, j’ai cru le reconnaître mais je n’étais pas sur, par peur de me tromper je n’y suis pas aller, et puis son air malsain ne me rassurais pas, arrivé au boulot, toujours ce vieil homme, mais en mouvement cette fois, il me fixais, j’ai laisser discrètement mon téléphone dépasser, pour si besoin appeler les flics, je suis rentré rapidement dans le bureau, plus d’incident cette journée là… le lendemain matin toujours le même chemin mais une camionnette qui n’avais pas l’habitude d’y être a quelque mètre de chez moi… je ne me suis douté de rien, puis soudain un coup dans la nuque me fit tressaillir…et sans un mot on m’a emporté… […] On a retrouvé mon corps remontant a la surface de la seine, je ne pourrais vous dire l’endroit, la police a mené l’enquête sans trouver ce fameux vielle homme qui avais été vue rodant près de chez moi…, Et le plus fou dans tout ça ç’est que tout est faux… je me suis réveillé un matin plus tard de la beuverie au bord de l’eau ayant frôlé la noyade…mais dans le corps du vieil homme… pour être franc je n’ais pas bien compris mais je suis quand même aller a mon lieu de travail, mais je me suis croisé en chemin… c’est étrange, j’ai donc suivis tout ses faits et gestes… je voulais l’empêcher de faire une connerie... mais je n’y suis pas arriver… à la fin de cette soirée où j’avais trop bu je ne pu autrement que tâtonner dans le noir…et je suis tomber a l’eau, pour y mourir… Quiproquo incessant entre moi et ce jeune homme…mort sur les bords de seine… qu’elle est triste ta fin… qu’elle est triste ma mort…
Ce soir, de 5 janvier, une fois n’est pas coutume, nuit blanche avec des potes, on est aller faire la tournée des bars, histoire de se bourrer la gueule avant ma première semaine de boulot, certes ce n’étais pas très malin de ma part, mais ça fait plaisir de sortir le soir, de temps en temps oublier notre environnement, de temps en temps zapper l’autorité papa, maman…
Tsais le temps est assassin, car il ruse pour nous confronté au fait… on agit sans réfléchir comme ce soir où on étais tous bourrer, alors on est aller faire les fou se jeter un peu a l’eau, mais bien trop enivrer pour voir le chemin que l’on prenais, on s’est tous perdu de vue, on s’est tous un peu égaré, j’ai croisé un vieil homme a l’air louche, assit sur un, banc, son regard me transperçais, il m’a invité a boire un verre chez lui et de repartir le lendemain pour aller chez moi, il a failli me convaincre pourtant j’ai refusé, le lendemain matin après trois cachet d’aspirine pour faire passer mon mal de tête, j’ai croiser un vieil homme assit sur un banc, j’ai cru le reconnaître mais je n’étais pas sur, par peur de me tromper je n’y suis pas aller, et puis son air malsain ne me rassurais pas, arrivé au boulot, toujours ce vieil homme, mais en mouvement cette fois, il me fixais, j’ai laisser discrètement mon téléphone dépasser, pour si besoin appeler les flics, je suis rentré rapidement dans le bureau, plus d’incident cette journée là… le lendemain matin toujours le même chemin mais une camionnette qui n’avais pas l’habitude d’y être a quelque mètre de chez moi… je ne me suis douté de rien, puis soudain un coup dans la nuque me fit tressaillir…et sans un mot on m’a emporté… […] On a retrouvé mon corps remontant a la surface de la seine, je ne pourrais vous dire l’endroit, la police a mené l’enquête sans trouver ce fameux vielle homme qui avais été vue rodant près de chez moi…, Et le plus fou dans tout ça ç’est que tout est faux… je me suis réveillé un matin plus tard de la beuverie au bord de l’eau ayant frôlé la noyade…mais dans le corps du vieil homme… pour être franc je n’ais pas bien compris mais je suis quand même aller a mon lieu de travail, mais je me suis croisé en chemin… c’est étrange, j’ai donc suivis tout ses faits et gestes… je voulais l’empêcher de faire une connerie... mais je n’y suis pas arriver… à la fin de cette soirée où j’avais trop bu je ne pu autrement que tâtonner dans le noir…et je suis tomber a l’eau, pour y mourir… Quiproquo incessant entre moi et ce jeune homme…mort sur les bords de seine… qu’elle est triste ta fin… qu’elle est triste ma mort…
j'en reste sans voie, il est magnifique !
